Le 10/07/2012
Rappelons tout d'abord que l'or constitue la matière la plus utilisée pour la création et la fabrication de bijoux dans le monde.
Bien sûr, d'autres domaines sont concernés, notamment les industries, qui peuvent aller jusqu'à l'agro-alimentaire. C'est dire l'importance de son utilisation.
Mais il y a un revers à la médaille.
Nous savons que pour parvenir à l'élaboration de ces bijoux ou autres créations, il a bien fallu commencer par extraire l'or.
Et là, nous sommes confrontés à des conditions déplorables, bafouant sans vergogne les plus élémentaires droits de l'homme, mais aussi l'environnement.
Certes, force est de reconnaître que 70 % des mines existent dans des pays en voie de développement.
A ce titre, les êtres humains représentent des proies faciles aux yeux des opportunistes brigands.
C'est pourquoi, de plus en plus conscients de ces dérives inhumaines, les responsables des exploitations minières mettent en place de nouvelles méthodes pour extraire le précieux métal.
Cette façon de faire tient compte du respect de l'homme et de la nature.
Ainsi, cherchant à préserver les conditions décentes des travailleurs, de nouveaux standards éthiques voient le jour et tendent à gagner l'ensemble des zones minières.
Ceci constitue une authentique reconnaissance des dégâts causés à l'homme et à l'environnement par la barbarie des exploitants sans scrupules.
Il est bon de savoir que l'agriculture locale, souvent était mise en péril.
Nous pouvons également être étonnés lorsqu'on nous annonce que pour une bague en or, il y a lieu de tirer environ vingt tonnes de terre !
Du coup, sensibilisé par ces nouvelles techniques, le consommateur accepte volontiers de payer un peu plus cher ses valeurs aurifères, dans la mesure où il sait que l'homme et la nature sont protégés et qu'il ne se sent plus complice d'une telle inhumanité.
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