La 20 francs Marianne Coq, une pièce à caractéristiques avantageuses
La 20 francs Marianne Coq est une pièce d’or de renommée française très prisée sur le marché international aurifère. La pièce a suivi l’évolution de l’époque lors de la séparation de l’église et de l’état. Suite à des réclamations anticléricales, la mention gravée sur la pièce fut remplacée de « Dieu protège la France » en « Dieu protège la France » vers 1907. Cette belle pièce française fait partie des monnaies d’or refrappées avec les anciennes pièces d’origine vers les années 50. Pendant les deux guerres mondiales, les pièces Marianne Coq furent perdues, abîmées et rognées. Un énorme stock d’or fut alors disparu et fondu pendant les guerres et les pièces avec. En 1948, la Banque de France a décidé de rouvrir le marché de l’or et de relancer la pièce 20 francs Marianne Coq.Le millésime gravé sur les pièces est alors antérieur. C’est pour ça que les spécialistes appellent les nouvelles pièces les « refrappes Pinay ». Les pièces sorties entre 1907 et 1914 sont nombreuses et en bon état, car elles n’ont pas circulé sur le marché financier. L’avers de la pièce d’or porte fièrement l’œuvre original de Jules Clément Chaplain qui illustre le profil droit de Marianne aux cheveux longs. La dame est coiffée d’un bonnet phrygien et son contour est décoré d’une branche de chêne fruitée. Cette face porte les mentions « République Française ». Le revers est personnalisé par les mentions « Liberté, Égalité, Fraternité » avec l’illustration d’un coq se tenant debout sur le sol herbé et fleuri. Quelque soit son millésime, les pièces d’or 20 francs Marianne Coq portent le titre de 900.00 ‰, pèsent 6.45161g et mesurent 21mm de diamètre. Dans un but capitalistique ou pour le plaisir de collectionner, cette pièce d’or française présente plusieurs caractéristiques très avantageuses.