L’or et l’argent, des valeurs sûres en période de crise
Le problème de pénurie touche aussi bien le métal jaune que l’argent métal. Tant que la demande de ces métaux précieux est plus importante que l’offre proposée sur le marché, leur prix restera élevé. Au lieu de connaître une dépréciation lors des crises économiques et financières, leur valeur continuera à grimper. L’or et l’argent métal deviendront à coup sûr les seules valeurs refuges à la fois tangibles et efficaces durant les périodes de crise. C’est l’une des raisons pour laquelle la plupart des investisseurs se tournent de plus en plus vers ces outils de placement.
Ces derniers n’hésitent plus à bloquer tous leurs avoirs dans l’achat de ces métaux précieux ou à diversifier leurs portefeuilles boursiers avec ceux-ci pour éviter de faire des pertes dans leurs transactions en bourse. En d’autres termes, acheter ces métaux précieux constitue l’unique solution sécuritaire pour préserver ses biens et patrimoines d’une éventuelle crise économique mondiale. Les risques pour les investisseurs de faire des déficits dans leurs transactions d’or et d’argent dans les prochaines années sont très minimes, voire nuls.
Outre leur caractère stable et leur perpétuelle hausse de valeur, un autre avantage offert par l’or et l’argent métal est leur côté plus accessible en termes de prix. Il est important de savoir que, le prix fait partie des principaux critères pris en compte par les investisseurs au cours de leur achat.
L’or et l’argent métal présentent cet avantage d’être disponibles sous toutes les formes, à savoir lingot, barre, plaquette ou pièce. Les investisseurs dans ces outils de placement, n’auront qu’à choisir la forme d’or ou d’argent métal adaptée à leur budget. Sur le plan fiscal, ces métaux précieux, notamment l’or jaune, proposent des taxes particulièrement avantageuses lors de l’achat. Si auparavant, les investisseurs dans l’or devaient impérativement s’acquitter de la taxe de 8% au cours de leur achat, aujourd’hui, ils bénéficient d’un choix entre une taxation sur le montant de la transaction et une taxation sur les plus-values. Cette seconde taxation basée sur les plus-values a été inspirée des principes d’imposition des biens immobiliers mis en vente.