Monnaie d'or : les bons plans du moment
Les investisseurs souhaitant miser sur la monnaie d'or peuvent privilégier certaines pièces.
La monnaie d'or : les pièces à privilégier
Le Napoléon, les pièces américaines, le Krugerrand d’Afrique du Sud, le 20 Francs Tunisie ou encore le Souverain Britannique sont actuellement les plus intéressants.
Sur le marché français, les pièces d'or Napoléon sont les plus prisées. Quasiment inconnues en dehors de nos frontières, elles figurent pourtant dans la liste des monnaies d'or les plus conservées dans le monde. Ce sont surtout les Français qui sont les plus intéressés par cette monnaie d'or.
Le Napoléon a été frappé entre 1802 et 1914. Cette monnaie d'or a une nouvelle fois été frappée dans les années 1950 et 1960.
Les investisseurs désireux de se lancer dans l'achat de ces pièces d'or peuvent bénéficier d’un large choix étant donné que les pièces se déclinent en différents modèles. Néanmoins, tous ont un poids de 6,45 g et un diamètre de 21mm.
Si les pièces 20 Francs Or sont intéressantes en termes d’investissement, elles ne présentent pas toutes les mêmes primes. Certaines étant plus chères que d’autres. Louis Philippe, Napoléon Ier, Bonaparte sont entre autres les modèles à éviter puisque leurs primes sont élevées. Il faut davantage se focaliser sur les Napoléon III Tête Laurée ou Tête Nue, les Cérès ou encore les Génie IIIème République. Étant donné qu’elles ont été frappées en plusieurs exemplaires, ces pièces sont plus accessibles. En plus, leur prime est presque nulle. Elles valent donc leur poids en or.
Les Marianne Coq 20 F sont également à privilégier en ce moment. Deux séries de Marianne ont été frappées. La première série date de 1899 à 1906. La tranche a été gravée de l’inscription «Dieu protège la France». Ce modèle a été frappé en 43 millions d’exemplaires. À la séparation de l’État et de l’Église en 1905, il a fallu produire de nouvelles pièces en 1907, cette fois-ci gravées sur la tranche « Liberté Égalité Fraternité ». La Marianne est intéressante, car en dehors des périodes de crise, elle présente une prime presque nulle, voire négative