Le cours de l’or : le gramme de nouveau à la baisse
Après avoir pris de l’ampleur tout au long du mois de février, le mouvement de l’or a fini par se décroître au début du mois de mars. Le cours de l’or au gramme a présenté de nouveau une tendance baissière. Si la valeur notée au 01 mars a été de l’ordre de 41.99 euros, celle-ci ne sera plus que dans les 41.11 euros cinq jours plus tard. Une baisse de 2.09 % a été constatée en moins d’une semaine.
La plupart des déclinaisons d’or négociées en bourse ont subi le même problème, que ce soit les lingots d’or d’un kilo et d’une once ou encore les mini lingots et les pièces d’or boursables. En moyenne, le cours d’un gramme d’or s’élevait à 40.74 euros au cours de cette période, contre 42.237 euros du mois de février. Une baisse de 3.54 % de valeur a été notée. Le point le plus haut enregistré durant ce mois a été de l’ordre de 41.99 euros, une valeur relevée à la date du 01 mars. Le point le plus bas a été observé le 20 mars durant lequel le cours d’un gramme d’or a été coté à 40.01 euros. Cette baisse de valeur continuera de perpétuer jusqu’en mois d’avril.
Le cours moyen de ce métal précieux avoisinait les 40.16 euros le gramme durant les premières semaines de ce mois. Par rapport au cours moyen relevé en mars, cette valeur a connu une légère baisse de 1.42 %. Le mouvement de l’or continue à poursuivre le même rythme tout au long de ce mois, avec une légère variation périodiquement. A la date du 18 avril, les cotations en bourse ont affiché une valeur de 40.18 euros le gramme d’or. Si cette tendance perpétue, le métal jaune aura un peu de mal à dépasser de nouveau la barre des 42 euros.
Les différents facteurs perturbateurs du marché financier semblent bloquer son accroissement. Prévoir le mouvement du cours d’un gramme d’or pour le reste de l’année reste une chose difficile à effectuer. En effet, la cotation de ce métal précieux peut connaître une hausse subite ou une baisse spectaculaire en fonction de la conjoncture économique mondiale. Les investisseurs ont intérêt à rester très vigilants car rien n’est plus sûr actuellement. Il ne faut pas, par ailleurs, oublier les problèmes de pénurie que rencontrent la plupart des gisements aurifères mondiaux.
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