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Acheter de l’or, mais pourquoi ?

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Dans les années 1970, l'or était considéré comme un protecteur équivalent aux devises papier. Posséder de l'or n’offrait aucun avantage dans la mesure où son cours se situait au même niveau que celui de la monnaie. Acheter de l'or était un simple placement.
Cependant, après l'abandon de l'étalon-or, une évolution en profondeur s’est produite. Les devises fluctuent plus ou moins librement entre elles et à différentes vitesses, ce qui aboutit au fait que l’or n’exerce plus ce garant réputé auparavant. Même le franc suisse, dans les années 90, a perdu de sa superbe, en relâchant ses liens avec l’or.

Aujourd’hui, la planche à billets tend à colmater les brèches de la dépréciation des devises, induites par les différentes crises financières.
Les valeurs fiduciaires n’ont plus la cote. Seuls les banques et les états (parfois) maintiennent une relative confiance, en imprimant toujours un peu plus de monnaie.
La conséquence de cette « dévaluation » engendre, sur le long terme, une inquiétude et une complication pour les petits épargnants qui veulent préserver, le plus possible, leur patrimoine. Lequel a pu se constituer au fil des années de dur labeur.
A titre d’exemple, depuis la fin de la frappe des derniers « napoléons » en 1914, la valeur de cette pièce en or a été multipliée par 10000.
En comparant le pouvoir d'achat de l'or et celui de la monnaie papier aujourd’hui, on prend la mesure de la chute du pouvoir d’achat de la monnaie papier.
Il apparaît donc assez clairement que l’or conserve son qualificatif de « valeur refuge » et qu’on en veut pour preuve, le fait que toutes les banques constituent des stocks d’or importants.
L’or permet ainsi le maintien du pouvoir d’achat : c’est là tout son intérêt, surtout dans une politique à long terme.
On peut donc affirmer que l’or joue bien le rôle de protecteur et d’assurance contre les crises financières et, partant, contre les dépréciations du pouvoir d’achat de la monnaie fiduciaire.
L’or demeure, jusqu’à preuve du contraire, une espèce de levier réparateur intervenant dans des moments de graves perturbations économiques.

En rapport avec ce qui précède, peut-on prendre un risque en achetant de l’or ?
Si l’on craint ce risque, il semble tout à fait raisonnable de transformer une partie de son patrimoine en or physique, par exemple 10 %.

Ceci garantirait, à priori, un minimum vital face à un scénario catastrophe de crise financière.
Mais, si l’on associe l’or à une valeur refuge, ne serait-il pas également un investissement rentable ?
Bien que les banques centrales prétendent détenir environ 20% des réserves totales d’or dans leurs coffres, on peut tout à fait avancer que l’or demeure une « simple matière première ».

Il suffit pour s’en convaincre de visionner le monde économique avec l’utilisation de l’or comme base de différentes créations.
La consommation de l’or aujourd’hui est intégrée pour 60 à 70% par les bijoutiers et, notamment, en raison de leur importance culturelle, par certains pays plus spécifiquement. (Inde, Turquie)
Mais l’or trouve aussi ses débouchés dans des applications plus marginales, même si elles sont en forte progression à présent.
C’est le cas des prothèses dentaires, des ordinateurs, voire des téléphones mobiles…etc.
Enfin, et pour ceux qui veulent se ménager une sorte de « pécule », il apparaît une demande croissante de pièces et de lingots d’or.

Nous pouvons donc croire qu’acheter de l’or, finalement, est un bon filon.

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